Pour obtenir les 50 milliards d’économies, le
gouvernement compte imposer un assortiment d’efforts sévères, y compris
aux plus modestes.
Ce n’était qu’une rumeur, expliquait, le 15
avril dernier, le ministre des Finances, M. Michel Sapin. La France n’a
jamais eu l’intention de demander un délai à l’Europe dans le cadre de
la réduction de ses déficits publics à moins de 3% du PIB (produit
intérieur) en 2015. Alors que les experts de la Commission européenne
tablent sur déficit public français à 3,9% du PIB en 2015 et
qu’actuellement Bruxelles joue la fermeté, le gouvernement affiche donc
sa volonté de mettre les bouchées doubles pour atteindre les fameux 3% à
la fin de l’année prochaine
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire