dimanche 29 mars 2015

VOS DROITS - S’ASSURER QUE LE SALAIRE MINIMUM CONVENTIONNEL EST RESPECTÉ

Communiqué de la FEC-FO « Loi Macron » : Clientélisme, privatisations insidieuses et droits sociaux bafoués…

jeudi 26 mars 2015

FO Energie et Mines - INTÉRESSEMENT ET AUGMENTATION DES SALAIRES : QUELS BESOINS POUR LES SALARIÉS ?

Remise en question du droit de grève à l' OIT (Organisation Internationale du Travail)

EMPLOI : GRÈVE ILLIMITÉE À RADIO FRANCE


Les salariés de Radio France sont en grève illimitée depuis le 19 mars à l’appel de cinq syndicats dont le SNFORT FO.
Ils craignent l’annonce d’un plan d’économies assorti de suppressions de postes.
Déjà mobilisés depuis un mois, ils ont été excédés par les dernières révélations de la presse sur les dépenses somptuaires de leur patron, Mathieu Gallet. L’Inspection générale des finances a ouvert une enquête

FO CORDEMAIS - Compte-rendu du CHSCT du 25 mars 2015


mercredi 25 mars 2015

Des TGV spéciaux pour la manifestation nationale de Paris, le 9 avril

Des trains pas comme les autres : tous en Grève le 9 avril !
Départ des TGV spéciaux  pour la manifestation nationale de Paris :
-  Nantes : 10 heures
- St-Nazaire : 10 heures 25
Inscrivez-vous dès maintenant auprès de vos secrétaires de syndicats.

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Les manifestations locales, à 10h30 :
Nantes : Place du  Commerce
St-Nazaire : Place de l'Amérique latine

Le 9 avril contre l’austérité, pour le service public, pour le Statut !

« LE DISCOURS PORTÉ PAR LES DIRIGEANTS NE CORRESPOND PAS À LA POLITIQUE MENÉE »

Qu’est-ce qui différencie la rigueur de l’austérité ?
Henri Sterdyniak : 
C’est une question sémantique à laquelle je ne sais pas répondre. La politique budgétaire se doit d’être rigoureuse en ce sens que les investissements publics doivent être opportuns, le système fiscal juste, l’évasion fiscale évitée, etc. L’austérité consiste à mettre en œuvre une politique budgétaire restrictive. Cette austérité est malvenue en période de demande insuffisante et réduit des dépenses nécessaires, telles que l’éducation ou la santé. Dans certaines circonstances exceptionnelles un pays peut avoir besoin de politiques de restrictions budgétaires, mais les problèmes de la zone euro sont avant tout liés à un manque de demande et un besoin d’ajustements entre les pays.

Mailly (FO) lance une charge contre Berger (CFDT)

Le numéro un de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, a accusé son homologue de la CFDT Laurent Berger d'être "de facto, complice" de la montée du Front national en refusant de dénoncer la politique d'"austérité", une attaque qui a rapidement fait réagir l'intéressé.
"A ne pas qualifier d'austère la politique économique menée, à se couler dans le moule du conformisme économique libéral, à jouer les appoints des dirigeants, on est de facto complice de la montée des mouvements de rejet de l'autre", écrit M. Mailly dans l'éditorial de FO Hebdo, organe de son syndicat, reçu mercredi.
"Nul besoin d'être historien pour s'en rendre compte. Il suffit simplement d'être syndicaliste", lance le leader de FO, après le premier tour des élections départementales marqué par un score élevé du FN.
En début de soirée, M. Berger a réagi sur Twitter: "On peut ne pas être d'accord, mais soyons responsable et respectueux, c'est aussi cela être syndicaliste".
Dans une interview aux Echos la semaine dernière, le secrétaire général de la CFDT avait estimé qu'il "y a de la rigueur, des gens en bavent, mais il n'y a pas d'austérité en France".
"S'agissant du qualificatif d'austérité réfuté par le secrétaire général de la CFDT, le gouvernement a trouvé en la matière un nouveau porte-parole", affirme M. Mailly, à deux semaines d'une grève contre l'austérité appelée notamment par FO et à laquelle ne se joint pas la CFDT.
"Ce n'est pas parce que le secrétaire général de la CFDT voit tout en rose que, par miracle, tout va bien", raille-t-il.
M. Mailly précise que, lors de son entretien la semaine dernière avec le président François Hollande, il lui a rappelé l'opposition de FO "à la politique économique et sociale d'austérité, ainsi qu'au projet de loi Macron et au pacte de responsabilité".
De son côté, le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, avait répliqué à M. Berger estimant qu'en France on est "sur la route" de l'austérité.
Quatre syndicats - CGT, FO, FSU, Solidaires - appellent à une journée de grève le 9 avril contre la politique d'austérité en France. Les centrales réformistes - CFDT, CFTC, CFE-CGC, Unsa - n'ont pas rejoint cette initiative.
em-jta/bow/zl

Éditorial de Jean-Claude Mailly - Ce que j’ai dit à François Hollande lors de notre entretien

dimanche 22 mars 2015

FO Energie et Mines - TEMPS DE TRAVAIL DES CADRES À EDF SA UNE NÉGOCIATION PAS VRAIMENT DÉBUTÉE


Face à une direction qui souhaite améliorer « la performance en optimisant les temps professionnels », à FO Énergie et Mines, notre seule ligne de conduite, la défense des intérêts collectifs et individuels des agents. 

Lu dans la presse - Portugal : les vies brisées des petits épargnants de Banco Espirito Santo (BOURSORAMA)


Une femme avec un panneau qui dénonce les "banques vautours" réclame la restitution de ses épargnes devant une antenne de Nouveau Banque dans la ville de Viseu, dans le nord du Portugal, le 12 mars 2015 ( AFP / Patricia de Melo Moreira )
Agriculteurs, retraités ou chômeurs, ils ont fait confiance à leur banque et investi l'épargne de toute une vie. Aujourd'hui, ses anciens clients de Banco Espirito Santo (BES), dont la chute a fait trembler le secteur financier portugais, risquent de tout perdre.
Battue par les vents, la plantation de laitues d'Albino Gomes, à Silveira, une bourgade au nord de Lisbonne, tombe en décrépitude, faute d'argent. "Ma conseillère bancaire m'a assuré que c'était un placement sans risque, à rendement garanti. Maintenant, je n'ai quasiment plus rien", dit-il.
A leur insu, environ 5.000 clients de BES ont troqué leur épargne contre des créances toxiques de Rioforte et Espirito Santo International, deux holdings luxembourgeoises du groupe Espirito Santo qui ont entre-temps fait faillite. En tout, ils ont placé plus de 500 millions d'euros.
Bâches plastiques déchirées, routes de terre défoncées, la parcelle agricole de deux hectares d'Albino Gomes manque d'argent frais pour semer des engrais. "Je ne dors plus, j'y pense en permanence", confie l'exploitant, 73 ans, la voix étranglée par l'émotion.
Pour entretenir ses serres, le maraîcher, qui n'a qu'une maigre retraite de 410 euros par mois, a besoin d'un emprunt. Ironie du sort, il compte faire la requête auprès de Novo Banco, né des décombres de Banco Espirito Santo.
L'histoire commence le 3 août, le jour où l'Etat portugais sauve de la faillite Banco Espirito Santo, en y injectant 3,9 milliards d'euros, montant auquel les banques ajoutent un milliard. Les actifs jugés sains sont regroupés au sein de Novo Banco.
- Placements à haut risque -
Les petits porteurs sont les premiers à se voir appliquer le nouveau système de sauvetage des banques adopté par l'Union européenne. Idée principale: faire payer les actionnaires et créanciers non prioritaires, pour éviter aux contribuables de mettre la main à la poche.
Albino Gomes, un exploitant agricole ruiné par la chute de la banque BES, observe les plastiques de son ancienne serre à Torres Vedras, une bourgade au nord de Lisonnne ( AFP / Patricia de Melo Moreira )
Albino Gomes, un exploitant agricole ruiné par la chute de la banque BES, observe les plastiques de son ancienne serre à Torres Vedras, une bourgade au nord de Lisonnne ( AFP / Patricia de Melo Moreira )
Ils ont tous investi entre 50.000 et 100.000 euros, parfois plus, à des taux d'intérêt oscillant entre 3 et 4%. Le placement d'Albino Gomes est arrivé à échéance le 31 octobre. Depuis, pas de nouvelles. Son extrait de compte bancaire reste désespérément vide, tout a été remis à zéro.
La garantie de remboursement par l'Etat de 100.000 euros, valable pour des comptes bancaires en Europe, ne joue pas dans son cas, car il a investi dans un produit financier à haut risque.
Inquiète, la Banque du Portugal avait obligé BES l'an dernier à inscrire dans ses comptes une provision de 1,25 milliard d'euros pour protéger les petits détenteurs de titres. Mais aujourd'hui, elle assure que cette réserve "ne constitue pas une garantie de remboursement".
Si Novo Banco s'était dans un premier temps engagé à racheter les mauvaises créances, son patron Eduardo Stock da Cunha botte désormais en touche. "Il ne revient pas à Novo Banco de payer", mais "on travaille à une solution".
- 'Cobayes' des règles européennes -
Ce changement de ton brutal a plongé dans le désespoir des milliers d'épargnants: "l'angoisse est très forte, ils survivent à coup d'antidépresseurs. Leur bête noire, c'est leur conseiller qui les a dupés, et ils ne reculeront devant rien", assure Mario Gomes, fils de l'agriculteur de Silveira.
Il est vice-président de l'Association des clients lésés de BES, dont les membres envahissent régulièrement des agences de Novo Banco, aux cris de "voleurs!" et "rendez-nous notre argent!".
La colère monte. Samedi, une centaine de manifestants ont assiégé la résidence du gouverneur de la Banque du Portugal, Carlos Costa, à Lisbonne, à leurs yeux le principal responsable de leur mésaventure.
Pour eux, il ne fait pas de doute que la Banque du Portugal a changé d'avis pour obtenir le prix fort pour Novo Banco, mis en vente pour rembourser l'Etat et les banques qui ont contribué à son sauvetage.
"Malheureusement, les ratios de capital d'une banque sont jugés plus importants que la détresse des êtres humains", déplore l'avocat Carlos Lucena du cabinet Telles qui représente plusieurs clients spoliés.
"Nous sommes les cobayes du nouveau système européen de sauvetage des banques. Le Portugal est un pays pauvre, ils nous méprisent", se désole Antonio Nunes, 68 ans, fonctionnaire à la retraite, client fidèle de BES pendant 45 ans.
Il a placé 100.000 euros, l'épargne de trois générations, de son beau-père, sa fille et lui-même, "pour aider les petits-enfants". Pris d'un doute, il avait voulu annuler le contrat au lendemain de sa signature. Mais la banque a réitéré que c'était "un placement sûr".

samedi 21 mars 2015

21 mars 1884 Les syndicats deviennent légaux

Dans la foulée des grandes lois démocratiques sur l’école laïque et sur la liberté de la presse, la République se rend à l’évidence et renonce à mettre hors la loi un mouvement qui, de toute façon, s’exprimera. 
Après le traumatisme engendré par les massacres de mai 1871, le mouvement ouvrier reprend progressivement de l’ampleur. 
En 1872, le gouvernement dissout le Cercle de l’Union ouvrière de Paris qui réunit quinze chambres syndicales. Pour faire face à la multiplication des grèves, le pouvoir accepte enfin l’abrogation de la loi Le Chapelier et des articles du Code pénal napoléonien contre les coalitions, qui interdisaient depuis 1791 le principe même des associations de défense des « prétendus intérêts communs » des ouvriers. 
Jules Ferry est l’initiateur, dès 1880, d’un projet de texte législatif, autorisant les syndicats (ouvriers et patronaux). Mais, confronté aux multiples tentatives d’enlisement menées par les députés les plus conservateurs, ce n’est qu’à l’issue de quatre ans de bataille parlementaire que Waldeck-Rousseau, alors ministre de l’Intérieur du second gouvernement Ferry, pourra, enfin, faire voter la loi du 21 mars 1884. Elle soumet le fonctionnement des syndicats à des règles strictes. Elle marque cependant le point de départ pour de nouvelles étapes : l’organisation des salariés peut désormais se développer au grand jour, mais à l’extérieur des ateliers et usines, les syndicats restant interdits sur les lieux de travail. Il n’est également pas question d’autoriser les syndicats dans la fonction publique. 

« Les syndicats ou associations professionnelles, même de plus de vingt personnes, exerçant la même profession, des métiers similaires ou des professions connexes concourant à l’établissement de produits déterminés, pourront se constituer librement sans l’autorisation du gouvernement » affirme cette loi, qui accorde également à ces syndicats professionnels « le droit d’ester en justice », de disposer du produit de leurs cotisations, d’acquérir les immeubles nécessaires à leur activité, de constituer des caisses de secours mutuels ou de retraites. Ces syndicats professionnels peuvent, certes, former des unions de syndicats, mais ces unions ne peuvent, elles, ni posséder d’immeubles, ni entamer des actions en justice. Enfin, obligation est faite à ces syndicats de déposer leurs statuts et d’indiquer les noms de leurs dirigeants, qui devront impérativement être français et jouir de leurs droits civils. 

Ces nombreuses contraintes ont pesé lourd. La généralisation des syndicats professionnels espérée par Jules Ferry et Waldeck-Rousseau a été beaucoup plus lente que prévu. Essor bien évidemment freiné par le patronat qui multiplie les menaces sur les ouvriers pour retarder l’application de la loi. 

Face à cette offensive en règle, les dirigeants ouvriers sont divisés, avec d’un côté, les défenseurs d’un syndicalisme indépendant, et de l’autre, les"guesdistes", pour qui la lutte a une finalité essentiellement politique. Ces derniers ne veulent voir, du moins dans un premier temps, dans la loi de 1884 qu’une tentative de récupération et d’intégration du mouvement ouvrier. Une fédération nationale des Syndicats est créée à Lyon en octobre 1886 mais les rivalités en son sein entre"guesdistes"et"possibilistes"diminueront son influence. Elle sera concurrencée en 1892 par la fédération des Bourses du Travail. Ces divisions sont mal vécues par la classe ouvrière. Cette dernière impose dès 1893 un processus de rapprochement entre les deux organisations qui aboutira deux ans plus tard à la constitution de la première centrale syndicale, la Confédération générale du Travail.

La Commune de Paris - 1871

vendredi 20 mars 2015

FO44 - L'Oeil de l'Ouest Syndicaliste a lu - OS n°651


FO44 CGT44 SUD44 FSU44 - 9 avril - texte intersyndical


FO CORDEMAIS - rencontre entre les organisations syndicales et le PDG d'EDF Monsieur LEVY à Cordemais

la rencontre sur l'Unité de Production de Cordemais, entre les organisations syndicales et le PDG d'EDF, Monsieur LEVY, a duré 45 minutes. 

FO EDF CORDEMAIS lui a posé les questions que vous lirez ci-dessous. 


En ce qui concerne ses réponses 


Les tranches Charbon seraient perennisées jusqu'en 2035 (investissements lourds). Mais par contre, il ne s'est pas avancé sur le Fioul, le sujet devant être abordé au prochain CCE du 23 mars 2015, Attention !!! Danger !!! 


A propos du tarif agent, il considère qu'il faut être à l'écoute des messages, relayés par la presse et qu'il faut "se mettre en position d'adaptation" sur des acquis qui datent de plus de 60 ans. 

FORCE OUVRIERE lui a répété son opposition la plus ferme à la remise en cause du tarif agent. Nous ne sommes pas influençables par les "lobbys", car nous sommes un syndicat libre et indépendant. 

Concernant les salaires, il a déclaré qu'EDF était attaqué, comme pour le tarif agent et que, dans les conditions économiques actuelles nationales, on ne pouvait pas augmenter les salaires. De qui se moque-t-on, quand les bénéfices du CAC40 se sont terminés sur un score en progression de +37,7% avec un résultat NET de 64,4 milliards d'euros. 


Pour le temps de travail des cadres, M. LEVY a déclaré que le "travail horaire" est inefficace et qu'il faut passer à un "travail sur mission". Il a rajouté que si les négociations n'aboutissaient pas, il n'y aurait pas de forfait-jour. 

FORCE OUVRIERE a répété son opposition au FORFAIT-JOUR 

Pour ce qui est de nos positions FORCE OUVRIERE, vous pourrez les lire dans le document ci-dessous.



   

dimanche 15 mars 2015

Salaires : les routiers prêts à relancer les blocages le 15 mars

Juridique - Rupture conventionnelle et licenciement


vendredi 13 mars 2015

L'Austérité, ça suffit - La Grève, c'est le 9 avril - Manifestation Nationale à Paris


TARIF AGENT - FO DIT NON À SA REMISE EN CAUSE !


Un rapport de la commission spéciale sur la tarification de l’électricité de l’Assemblée nationale, rendu public il y a deux jours, fait plusieurs propositions dont l’une porte sur les aspects sociaux au travers de « coût insuffisamment maîtrisés ».
Ce document parlementaire veut remettre en cause le tarif agent sur deux points importants et ceci au nom de la transition énergétique, que nous combattons avec détermination :
  • Imposition d’un plafonnement du tarif agent au nom d’économies d’énergies.
  • Faire payer aux agents la CSPE, actuellement prise en charge par l’employeur conformément au Statut.
FO Énergie et Mines reste cohérente et est contre les effets néfastes de la loi de transition énergétique que ce soit pour les usagers ou les agents.

TARIF AGENT - LETTRE OUVERTE À MADAME LA RAPPORTEURE DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE SUR LA TARIFICATION DE L’ÉLECTRICITÉ


La Commission d’enquête sur la tarification d’électricité, mise en place par l’Assemblée nationale, vient de préconiser des modifications substantielles et inacceptables sur le tarif agent.
Comme on pouvait s’y attendre, ces propositions ont été relayées par la presse écrite et audiovisuelle.
Dès hier, la fédération a réagi fermement par un communiqué. (Consultez le communiqué ICI)
En parallèle, vous trouverez ci-dessous une lettre ouverte adressée à la Rapporteure de cette Commission d’enquête.

jeudi 12 mars 2015

Jurisprudence - La cour d’appel de Versailles accepte l’autoévaluation des salariés


L’autoévaluation par un salarié de ses propres performances est-elle licite ? Oui, vient de juger la cour d’appel de Versailles, se prononçant dans un arrêt du 19 décembre 2014 sur un dispositif mis en place au sein d’une banque. Pour la cour, « aucune des dispositions régissant la matière ne proscrit l’implication du salarié dans son évaluation, par sa propre appréciation des résultats qu’il a atteints et des conditions dans lesquelles il est parvenu à ces résultats ».
Lire la suite >>>

FO Energie et Mines - TARIF AGENT - FO DIT NON À SA REMISE EN CAUSE !


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Un rapport de la commission spéciale sur la tarification de l’électricité de l’Assemblée nationale, rendu public il y a deux jours, fait plusieurs propositions dont l’une porte sur les aspects sociaux au travers de « coût insuffisamment maîtrisés ».
Ce document parlementaire veut remettre en cause le tarif agent sur deux points importants et ceci au nom de la transition énergétique, que nous combattons avec détermination :
  • Imposition d’un plafonnement du tarif agent au nom d’économies d’énergies.
  • Faire payer aux agents la CSPE, actuellement prise en charge par l’employeur conformément au Statut.
FO Énergie et Mines reste cohérente et est contre les effets néfastes de la loi de transition énergétique que ce soit pour les usagers ou les agents.