Les syndicats protestent contre le projet de réforme ferroviaire.
Le
taux de participation à la grève nationale des cheminots s’élevait
jeudi en fin de matinée à 23,7% pour l’ensemble du personnel, 42,4% pour
les agents de conduite et 47,5% pour les contrôleurs, a annoncé la
direction de la SNCF dans un communiqué.
Les syndicats CGT, Unsa, SUD Rail, FO et First ont appelé les 150 000 salariés de la SNCF à la grève contre la réforme ferroviaire, jusqu’à vendredi 8 heures. Selon la SNCF, le trafic est conforme aux prévisions, avec en moyenne six TGV et TER sur dix. Selon la SNCF, «le service garanti annoncé aux clients par tous les supports d’information est tenu conformément aux prévisions», avec en moyenne six TGV et TER sur dix.
Les cheminots s’élèvent contre le projet de réforme ferroviaire, qui doit être débattu au parlement après les municipales.
Cette réforme vise à stabiliser la dette du système ferroviaire, actuellement de 40 milliards d’euros (dont 32 mds pour Réseau ferré de France) en supprimant des redondances d’activités, et à préparer le secteur à l’ouverture à la concurrence du transport de voyageurs.
Le gouvernement entend unifier au sein d’un même pôle public la SNCF et le gestionnaire des infrastructures RFF. Mais la configuration prévue - deux établissements chapeautés par un troisième - fait redouter aux syndicats un «éclatement» du système ferroviaire et une réforme «sur le dos des cheminots»
Les syndicats CGT, Unsa, SUD Rail, FO et First ont appelé les 150 000 salariés de la SNCF à la grève contre la réforme ferroviaire, jusqu’à vendredi 8 heures. Selon la SNCF, le trafic est conforme aux prévisions, avec en moyenne six TGV et TER sur dix. Selon la SNCF, «le service garanti annoncé aux clients par tous les supports d’information est tenu conformément aux prévisions», avec en moyenne six TGV et TER sur dix.
Les cheminots s’élèvent contre le projet de réforme ferroviaire, qui doit être débattu au parlement après les municipales.
Cette réforme vise à stabiliser la dette du système ferroviaire, actuellement de 40 milliards d’euros (dont 32 mds pour Réseau ferré de France) en supprimant des redondances d’activités, et à préparer le secteur à l’ouverture à la concurrence du transport de voyageurs.
Le gouvernement entend unifier au sein d’un même pôle public la SNCF et le gestionnaire des infrastructures RFF. Mais la configuration prévue - deux établissements chapeautés par un troisième - fait redouter aux syndicats un «éclatement» du système ferroviaire et une réforme «sur le dos des cheminots»
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