Après avoir si massivement exprimé leur attachement aux libertés démocratiques, il sera désormais plus difficile encore de parier sur leur résignation face au désastre social, aux inégalités scandaleuses et divisions criminelles auxquelles les condamnent les politiques d'austérité.
Certes, il y a toujours de la confusion dans toute mobilisation, surtout quand elle est provoquée et entretenue par ceux qui tentent d'en tirer un profit politicien ou mercantile.
Il y avait donc ce dimanche 11 janvier, d'un côté la foule des héritiers de la Révolution française, et de l'autre, en tête, sous cloche de leurs services de protection rapprochée, une brochette de 50 chefs d'Etat, pour la plupart va-t-en guerre et ennemis des libertés, à commencer par celle de la presse.
Formidable contradiction que, passé le temps de l'émotion et de l'humour, il faut bien dénouer. "Ni rire, ni pleurer, mais comprendre" : la célèbre maxime du philosophe Spinoza est plus que jamais d'actualité.
Certes, il y a toujours de la confusion dans toute mobilisation, surtout quand elle est provoquée et entretenue par ceux qui tentent d'en tirer un profit politicien ou mercantile.
Il y avait donc ce dimanche 11 janvier, d'un côté la foule des héritiers de la Révolution française, et de l'autre, en tête, sous cloche de leurs services de protection rapprochée, une brochette de 50 chefs d'Etat, pour la plupart va-t-en guerre et ennemis des libertés, à commencer par celle de la presse.
Formidable contradiction que, passé le temps de l'émotion et de l'humour, il faut bien dénouer. "Ni rire, ni pleurer, mais comprendre" : la célèbre maxime du philosophe Spinoza est plus que jamais d'actualité.
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