70 000 manifestants à Turin selon l'agence France-Presse,
50 000 à Milan, autant à Naples, 40 000 à Rome, 15 000 à Palerme, des cortèges dans 54 grandes villes italiennes, et partout ou presque les transports urbains, ferroviaires et aériens à l'arrêt: la grève générale du 12 décembre contre la politique du gouvernement Renzi a pris la dimension d'un séisme politique et social majeur en Italie.
Un séisme dont l'onde de choc bien sûr ne s'arrête pas aux frontières transalpines, car il paraît annonciateur de la mise à l'ordre du jour de la grève générale interprofessionnelle dans bien _ sinon tous _ les pays de l'Union européenne. Déjà, le lundi 15, après l'Irlande, la Belgique est paralysée par la grève.
50 000 à Milan, autant à Naples, 40 000 à Rome, 15 000 à Palerme, des cortèges dans 54 grandes villes italiennes, et partout ou presque les transports urbains, ferroviaires et aériens à l'arrêt: la grève générale du 12 décembre contre la politique du gouvernement Renzi a pris la dimension d'un séisme politique et social majeur en Italie.
Un séisme dont l'onde de choc bien sûr ne s'arrête pas aux frontières transalpines, car il paraît annonciateur de la mise à l'ordre du jour de la grève générale interprofessionnelle dans bien _ sinon tous _ les pays de l'Union européenne. Déjà, le lundi 15, après l'Irlande, la Belgique est paralysée par la grève.
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