samedi 28 février 2015

Mathieu Plane, économiste à l’OFCE - « Le pouvoir d’achat est retombé à son niveau d’il y a treize ans »


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Mathieu Plane est directeur adjoint du Département analyse et prévision à l’Observatoire français des conjonctures économiques.

vendredi 27 février 2015

Libertés fondamentales - Les SMS de votre portable professionnel peuvent être consultés par l’employeur

LE 3 MARS, L'ÉNERGIE EN ACTION POUR PESER AU SÉNAT

À l’issue du débat au Sénat, les fédérations FO et CGT constatent que le texte sur la loi de Transition énergétique ne répond ni aux aspirations des salariés, ni aux besoins des usagers en matière d’énergie, ni aux enjeux pour la planète en matière de CO2.
C’est pourquoi, la FNME CGT et la FO Énergie et Mines appellent à faire le 3 mars, partout en France, des rassemblements auprès des Préfectures pour porter nos revendications de salariés, notre vision de professionnels du secteur de l’énergie et les attentes des usagers marquées par la signature de la pétition. 
Les Fédérations CGT et FO soutiennent les initiatives organisées par leurs bases qui pourront avoir lieu dans les secteurs de la production, du transport et de la distribution. 
En Ile de France, les Fédérations CGT et FO appellent à un rassemblement au Sénat à 11h00.

FO Energie et Mines - PROJET DE LOI SUR LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE: DEUXIÈME SEMAINE DE DÉBAT AU SÉNAT

PROJET DE LOI SUR LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE: DEUXIÈME SEMAINE DE DÉBAT AU SÉNAT

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Deuxième semaine au Sénat pour le projet de Loi : les débats se sont déroulés les 16, 17 et 18 février pour se terminer le 19 ; le vote solennel sur ce texte aura lieu le 3 mars.
Retrouvez ci-dessous une analyse FO Énergie et Mines sur les propositions sénatoriales, confrontées à nos positions.

Chiffres du chômage : une baisse en trompe l’œil ?

jeudi 26 février 2015

Réunion sur le dialogue social : « La pensée unique, ça suffit ! » réagit Jean-Claude Mailly

PROJET DE LOI SUR LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE: DEUXIÈME SEMAINE DE DÉBAT AU SÉNAT


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Deuxième semaine au Sénat pour le projet de Loi : les débats se sont déroulés les 16, 17 et 18 février pour se terminer le 19 ; le vote solennel sur ce texte aura lieu le 3 mars.
Retrouvez ci-dessous une analyse FO Énergie et Mines sur les propositions sénatoriales, confrontées à nos positions.

Droit à l’eau : une jurisprudence renforce l’interdiction des coupures


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«  2006-02-13 Drop-impact  » par Roger McLassus — Picture taken and uploaded by Roger McLassus.. Sous licence CC BY-SA 3.0 via Wikimedia Commons.

mardi 24 février 2015

FO44 - Editorial de Patrick HEBERT - Ouest Syndicaliste 650


Syndicats et patronat reçus à Matignon sur la réforme du dialogue social

Consommation - Ce qui change

Etats-Unis : la grève s’étend dans les raffineries pétrolières

dimanche 22 février 2015

Durée du travail - Ouverture des magasins le dimanche

FO Vidéos - Jean-Claude Mailly sur BFMTV


Droit du Travail - Alors que je rentrais chez moi, j’ai eu un accident de voiture, cet accident doit il être comptabilisé comme un accident du travail ?

À l’OIT, les travailleurs font face à l’offensive des employeurs contre le droit de grève


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La Cour suprême du Canada confirme le droit de grève comme essentiel. © The Canadian Press / ZUMA / REA

vendredi 20 février 2015

Indices des prix à la consommation (INSEE)


JANVIER 2015
-1%
VARIATION SUR UN AN
-0,4%
En janvier 2015, l’indice des prix à la consommation (IPC) baisse de 1,0 % après une hausse de 0,1 % en décembre 2014. Corrigé des variations saisonnières, il diminue de 0,3 % après —0,2 % en décembre. Pour la première fois depuis octobre 2009, les prix à la consommation baissent sur un an (—0,4 %).
Prochaine parution le 12 mars 2015 à 8h45 - février 2015

Hôpitaux et Projet loi santé : inexorable anorexie ?


Le projet loi et santé n’en finit pas de provoquer des débats dans la presse. Et si l’opposition des internes et médecins a bénéficié d’une ouverture médiatique non-négligeable, les hôpitaux continuent, dans un relatif silence, de souffrir d’un mal récurrent : les obligations d’économies exigées par des objectifs comptables.
Le Figaro
Des économies ? Simple comme bonjour et au-revoir : « Un patient sur deux pourra-t-il, dès 2016, se faire opérer en restant à l’hôpital moins d’une journée ? C’est l’objectif fixé par Marisol Touraine (la ministre de la Santé), en avril 2014, dans le cadre du plan d’économies de 10 milliards d’euros dans la santé d’ici à 2017 ». La ministre de la Santé tient à la bonne santé de ses comptes. Et « la chirurgie ambulatoire présente un double intérêt. Cette pratique, qui réduit à douze heures maximum le séjour du patient opéré à l’hôpital, améliore nettement la qualité des soins. En effet, moins on passe de temps à l’hôpital, moins on a de risque d’attraper une infection nosocomiale ». Ne pas y aller réduit donc considérablement le risque d’être encore plus malade. CQFD. « Deuxième avantage, cette technique opératoire permet de réaliser des économies substantielles à l’hôpital (le premier poste de dépenses dans le budget de la santé), notamment en frais d’hébergement. Et pour cause : le patient passe la nuit chez lui et non plus au sein de l’établissement ». Et s’achète un lit médicalisé ?
Les Echos
Et, grâce au bon docteur Macron, bientôt plus de risque d’anorexie au-delà des frontières. Au contraire. « Grâce à la loi Macron, ces obstacles seront bientôt levés. Alors que l’ancienne législation stipulait que "l’objet principal des établissements publics de santé n’est ni industriel et commercial [...]", l’un des articles du texte actuellement débattu à l’Assemblée nationale autorise en effet "certains hôpitaux à créer des filiales". Les 37 centres hospitaliers universitaires (CHU) de France pourront donc prendre des participations dans des sociétés commerciales, créer leurs propres antennes à l’étranger. Ils pourront embaucher et tirer profit de leurs brevets. Une facilité déjà offerte à de nombreux acteurs publics comme les universités, la BnF ou le musée du Louvre. ». Avec le risque comme EDF et Areva de gagner à l’international une dette colossale...
L’Essor Loire - Rhône - Isère
En parlant de dettes, les emprunts à l’international peuvent mettre à mal, au cœur même de la France : « Plus gros établissement du département, avec un budget de plus de 500 M€ et un effectif total de 7 300 personnes, le CHU de Saint-Etienne, est touché par le phénomène, via un emprunt dont l’évolution du taux d’intérêt est adossé aux variations de la monnaie helvétique. "D’un montant initial de 47 M€, dont 37 M€ de capital restent dus, il a vu son annuité augmenter de 2,5 M€ en 48 heures", explique Frédéric Boiron, le directeur général du CHU. Sur les 270 M€ de la dette de l’établissement, souscrite intégralement auprès de Dexia, environ 145 M€ sont constitués de prêts structurés ». Dexia, n’est-ce pas cette banque au chevet duquel a du se porter l’Etat français ?
Le Journal du Dimanche
Quoiqu’il en soit, pour le professeur André Grimaldi, qui a signé le contre-projet du Mouvement de défense de l’hôpital public (MDHP), « le projet de Marisol Touraine évacue la question centrale du désengagement de la Sécu des soins courants au profit des complémentaires. Ce désengagement entraîne une glissade vers leur privatisation, la Sécu se recentrant sur les plus pauvres et les plus malades. Cette évolution nourrit la révolte fiscale des personnes bien portantes issues des classes moyennes : elles auront à juste titre le sentiment de payer deux fois et de plus en plus cher ». Et de rappeler un principe fondamental : « Chacun paie en fonction de ses moyens et reçoit en fonction de ses besoins ».