«On revient de l’enfer», lâche Grégory Benedetti, délégué FO chez Kem
One. Après le rachat de l’entreprise par le financier américain Gary
Klesh puis neuf mois de redressement judiciaire, période durant laquelle
le syndicat FO s’est très fortement mobilisé, les 1.300 salariés de Kem
One sont soulagés. Tout comme les 20.000 employés de la filière
pétrochimique menacés par l’effet domino.
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